14 octobre 2011 07h40
|
maurice |
| |||
14 octobre 2011 09h07
|
Hélène |
Salut! Ok, c'est hollande qui s'y colle. Bein, au final, si les partis de gauche souhaitent emporter l'élection de 2012, il vaut mieux qu'ils mettent un homme, car les français dans leur ensemble, sont encore trop "machistes" pour élire une femme à la tête de l'Etat. | |||
14 octobre 2011 09h35
|
Segel |
Je dois dire que j'ai cru Hollande plus intéressant à un moment par son coté anti-blin-bling. Mais Aubry m'épate dans ses réponses claires à Attac et à Montebourg. Bon, cela dit, ça ne changera pas grand chose... | |||
14 octobre 2011 10h04
|
maurice |
Bonjour a tous ,bonjour hélène Effectivement comme tu le sous-entend notre société qui prétend être à l’avant garde De l’émancipation des femmes . demeure encore très a l’arriére garde Sinon ,comment expliquer que dans les mentalités de la sphère politicienne . les textes de loi sur la parité n’ont vraiment pas étè ,L’objet d’une avancé certaine Cela étant martine aubry a raison de clamer haut et fort qu’il faut une femme à la France . Elle s’est bien rendu compte qu’elle à son discrédit l’insurmontable influence des sondages Ventilateur premier alors bras droit de Balladur a dit : « Sans les sondages ,c’etait jouable . » | |||
14 octobre 2011 18h27
modifiée 14 octobre 2011 18h28 |
maurice |
je pensais qu'il voterait pour elle http://www.lemonde.fr/politi... si c'est aubry il n'aura même pas un strapontin à l'élisée | |||
14 octobre 2011 19h11
|
yv |
je trouve qu'elle sait y faire la bougresse, l'a pas froid aux yeux elle démontre qu'elle est plus a même d’affronter Sarko, j’espère qu'il va en prendre de la graine. Mais on est tout de même pas à l'abri d'une surprise, demain le rassemblement des indignés, je suis sure qu'on va la voire biz yv | |||
14 octobre 2011 19h35
|
Segel |
le rassemblement des indignés, je suis sure qu'on va la voire Mais elle va se faire lyncher ! | |||
14 octobre 2011 22h39
|
maurice |
peut-être bien que oui peut-être bien que non je pense qu'elle ne néglige pas l'indignation des gens face à la crise de toutes manières les gens sont si naîfs qu'ils réagissent quand c'est trop tard c'est bien la spécifité d'un mouton de panurge Ce que l'on appelle l'opinion commune est, à y bien regarder, l'opinion de deux ou trois personnes ; et nous pourrions nous en convaincre si seulement nous observions comment naît une telle opinion. Nous verrions alors que ce sont deux ou trois personnes qui l'ont admise ou avancée ou affirmée, et qu'on a eu la bienveillance de croire qu'elles l'avaient examinée à fond ; préjugeant de la compétence suffisante de celles-ci, quelques autres se sont mises également à adopter cette opinion ; à leur tour, un grand nombre de personnes se sont fiées à ces dernières, leur paresse les incitant à croire d'emblée les choses plutôt que de se donner le mal de les examiner. Ainsi s'est accru de jour en jour le nombre de ces adeptes paresseux et crédules ; car une fois que l'opinion eut pour elle un bon nombre de voix, les suivants ont pensé qu'elle n'avait pu les obtenir que grâce à la justesse de ses fondements. Les autres sont alors contraints de reconnaître ce qui était communément admis pour ne pas être considérés comme des esprits inquiets s'insurgeant contre des opinions universellement admises ou comme des impertinents se croyant plus malins que tout le monde. Adhérer devint alors un devoir. Désormais, le petit nombre de ceux qui sont capables de juger est obligé de se taire ; et ceux qui ont le droit de parler sont ceux qui sont absolument incapables de se forger une opinion et un jugement à eux, et qui ne sont donc que l'écho de l'opinion d'autrui. Ils en sont cependant des défenseurs d'autant plus ardents et plus intolérants. Car ce qu'ils détestent chez celui qui pense autrement, ce n'est pas tant l'opinion différente qu'il prône que l'outrecuidance qu'il y a à vouloir juger par soi-même — ce qu'ils ne font bien sûr jamais eux-mêmes, et dont ils ont conscience dans leur for intérieur. Bref, très peu de gens savent réfléchir, mais tous veulent avoir des opinions ; que leur reste-t-il d'autre que de les adopter telles que les autres les leur proposent au lieu de se les forger eux-mêmes? Puisqu'il en est ainsi, que vaut l'opinion de cent millions d'hommes? Autant que, par exemple, un fait historique attesté par cent historiens quand on prouve ensuite qu'ils ont tous copié les uns sur les autres et qu'il apparaît ainsi que tout repose sur les dires d'une seule personne. |