2 juillet 2012 20h24
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Jean-Pierre ♫ |
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2 juillet 2012 20h36
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TOTOCACA |
j'aime pas le foot et encore moins les nazis... et les gardes ukrainiens étaient plus que zélés sans vouloir les assimiler a tout les ukrainiens. | |||
2 juillet 2012 20h39
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Mag |
Merci pour l'histoire JP. Quel courage de leur part. | |||
2 juillet 2012 20h39
modifiée 2 juillet 2012 20h41 |
Jean-Pierre ♫ |
Un courage... suicidaire. Cela en valait-il la peine ? Telle est en fait ma vraie question. | |||
2 juillet 2012 20h45
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Mag |
Je me pose aussi la question | |||
2 juillet 2012 22h06
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abra |
Un courage... suicidaire. Cela en valait-il la peine ? Pas facile de répondre à cette question. Je dirais plutôt qu'il s'agissait d'un baroud d'honneur, un refus de se plier aux exigences de l'ennemi quel qu'en soit le prix à payer... et il était très lourd. Néanmoins quel eut été leur sort s'ils avaient suivi les ordres ? Je doute que les nazis face à une quelconque menace fut-elle sportive leur aient laissé la moindre chance. C'est une histoire fort touchante. | |||
3 juillet 2012 12h39
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lurette |
Encore une histoire terrible du régime nazi. Un acte de résistance, combattre l'oppression. Le déshonneur ou la mort. alors est-ce que cela en voulait la peine ? Pas facile, en effet, d'y répondre. Je rejoins Abra, quel aurait été leur sort, s'ils s'étaient inclinés ? auraientils pu résister d'une autre manière ? Ce match est devenu un des moments les plus symboliques de l'identité ukrainienne. On rejoint le principe de "mourir pour ses idées" : jusqu'à quel point ça en vaut-il la peine ? et en sommes-nous capables ? |