9 mars 2012 10h57
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Arsène Lupin |
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9 mars 2012 12h41
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Djabali |
non, pas forcément. Je pense qu'il faudrait obliger les laboratoires pharmaceutiques à reverser une partie de leurs bénéfices à la recherche... | |||
9 mars 2012 12h44
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gonzo |
Pour la recherche, ont sait que ce serait utile. mais nous sommes tous méfiants de ce genre d'industrie qui pompent plus qu'elles n'utilisent. combien de millions pour des recherche de nouvelles molécules pour des trucs qui marchent déja, mais qui rapportent gros. combien de maladie qui touchent peu de monde, mais dont la recherche se fou car peu rentable ? Nous somme beaucoup je crois, à ne plus avoir confiance dans cette industrie ...si la cause semble juste, la tête de ces institutions rend frileux d'y investir de l'argent en tant que bénévole. | |||
9 mars 2012 12h52
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Djabali |
l'industrie pharmaceutique se fait des milliards de bénéfices grâce aux brevets, quand tu penses la bataille entre les grands groupes d'Europe et d'Amérique du Nord et l'industrie pharmaceutique indienne à propos de la production d'antirétroviraux, sur le marché, un traitement antirétroviral de base peut revenir facilement dans les 800 € par mois, par personne ! Tu imagines le fric que se fait l'industrie pharmaceutique rien qu'avec le marché de la séropositivité... Il faudrait forcer ces gens à reverser une partie de cet argent à la recherche contre le VIH par exemple. | |||
9 mars 2012 12h56
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gonzo |
Si ont doit moraliser la finance et l'industrie, ce secteur devrai se trouver dans les 10 de tête de peloton ... | |||
9 mars 2012 13h01
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Djabali |
peut-être même dans les quatre, je pense à l'industrie militaire, l'industrie pharmaceutique, la banque et à l'industrie de l'alimentation (donc par une autre question d'Arsène)... | |||
9 mars 2012 13h23
modifiée 9 mars 2012 13h25 |
Arsène Lupin |
Je crois que vous avez raison d'être méfiants, et de penser que les riches industrielles de la pharmacie devraient mettent plus leurs mains à la poche et non dans leurs poches. | |||
9 mars 2012 17h25
modifiée 9 mars 2012 17h56 |
Lili ... |
Le Monsieur demande plus d'argent pour la recherche, mais également plus d'argent pour la prévention. Le message n'est pas très clair : il parle de financer l'analyse régulière pour éviter la maladie, mais parle également des pollutions électro-magnétiques. Pour revenir à une communication sans ondes, il compte dédommager avec ce budget augmenté les grosses boites de téléphonie ? Qui sont les bénéficiaires de cette recherche systématique ? Les labos d'analyse, mais également les labos qui fabriquent les tests. Dans notre monde où l'argent est roi, même lorsque la recherche est publique elle bénéficie avant tout aux compagnies privées. On noie le poisson en appelant ça du "partenariat". Sans mettre en doute le désintérêt du professeur, on sait tous que par manque de moyens mais également par méfiance de plus en plus les malades ont recours à l'automédication et pas seulement en achetant la production des laboratoires. Même avec les brevets, les labos ne pourront pas s'accaparer totalement de ce que nous offre la nature ... d'autant que la résistance s'organise : dédé l'Abeillaud: Kokopelli séme et sémera encore | |||
9 mars 2012 17h57
modifiée 9 mars 2012 18h03 |
Arsène Lupin |
C'est pour cela que j'ai posé la question. Je suis entièrement avec ton analyse. Il faut absolument aller vers les médecines de prévention ou douces avec des substances naturelles. Par exemple : Toutes les plantes présentées dans ce livre ont été sélectionnées par le Docteur Bouchet parce qu'elles sont, d'une manière ou d'une autre, utiles à l'être humain. Leur action curative est souvent connue depuis des siècles, voire des millénaires et bien que de nos jours les laboratoires arrivent à en synthétiser les principes actifs, nous assistons à un retour en force de la phytothérapie utilisant les plantes sous leur forme naturelle. Mais ne nous y trompons pas : si la majorité des plantes comportent des substances qui, correctement dosées, ont des effets médicinaux, elles peuvent aussi se révéler dangereuses en cas d'excès. C'est pourquoi l'auteur apporte une attention toute particulière à la posologie. De plus, si ce livre s'appuie sur une tradition millénaire, il tient également compte des découvertes universitaires les plus récentes. L'aromathérapie exactement - Encyclopédie de l'utilisation thérapeutique des extraits aromatiques. Fondements, démonstration, illustration, et applications d'une science médicale naturelle. - roger jollois - 9782878190014 - Livre - Unitheque.com | |||
9 mars 2012 18h44
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Lili ... |
Le résultat des recherches confirme généralement ce qui a été découvert de manière empirique. L'observation des anciens, sur une longue durée est un gage de sécurité. | |||
9 mars 2012 18h45
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Arsène Lupin |
C'est sûr ! | |||
13 mars 2012 13h36
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Djabali |
la médecine de prévention ou les médecines douces, c'est bien, mais cela ne concerne pas certaines pathologies anciennes ou récentes qui affectent très largement la planète : la grippe, le paludisme, l'hépatite, le VIH ; ça ne concerne pas non plus les maladies rares. Dans un cas comme dans l'autre, la recherche pure est nécessaire. | |||
13 mars 2012 17h23
modifiée 13 mars 2012 17h25 |
Arsène Lupin |
Oui, mais on peut se servir de l’expérience de ceux qui se soignent qu'avec des plantes. http://www.elmoudjahid.com/f... | |||
15 mars 2012 13h56
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Djabali |
bien sûr, je suis tout à fait d'accord, il faudrait intégrer le savoir des médecines traditionnelles à la panoplie du savoir de la recherche scientifique moderne, les deux peuvent marcher ensemble. D'ailleurs, je crois que dans certains cas, c'est ce qui se produit, j'ai déjà entendu parler de chercheurs partis à la rencontre de certains acteurs de la médecine traditionnelle | |||
15 mars 2012 15h39
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Lili ... |
Tu as aussi les labos qui utilisent ces rencontres, qui permettent le développement des brevets. | |||
15 mars 2012 16h38
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Djabali |
exactement... |