Pépé le Moko
Histoire sympa, personnages attachants.
J'ai la chance de n'avoir rien à foutre du paraître. Pas besoin de me trimballer avec un bouquin intello pour montrer que je suis quelqu'un d'intelligent.
Si un bouquin me plait dans les premières pages, je le lis, sinon, je passe à un autre. Quant au côté populaire, je m'en tape. Dans un sens de la critique ou dans l'autre, j'aime me forger ma propre opinion.
Mes gamins l'ont bien sûr lu aussi mais ni en 4eme ou en 1ere mais en CM2.
L'avantage quand tu es môme, c'est que les personnages, à un moment donné ont forcément ton âge vu que ça couvre la période de 11 à 17 ans.
Ceci dit, mes gosses ont aussi lu Tolkien et d'autres auteurs d'Heroic fantasy. Ils savent donc que les trolls, sorciers, centaures et autres ne sont pas nés avec Harry Potter.
Pour info, je vous trouve d'un snobisme assez effrayant quand je lis ce que je lis.
Vous aimez ou pas les romans, certains style de romans mais si un roman ne vous convient pas c'est autant vous qui ne lui convenez pas que l'inverse.
Vous ne faites juste pas partie des gens pour qui ce truc à été écrit et ça ne fait ni de vous ni des autres des gens meilleurs car sur un autre bouquin, tout le monde peut se rejoindre.
Pépé le Moko
Ça fait 17 ans que je dis plusieurs fois par jour à Lolo que je l'aime, tout comme je le dis à mes enfants aussi.
J'en ai rien à foutre de ce que l'on devrait faire ou ne pas faire dans ce domaine, de ce qui est "conseillé".
Je n'attends pas qu'elle agisse de même. Chacun est libre d'exprimer ses sentiments comme il l'entend. Je suis toujours content quand elle le dit la première mais le fait qu'elle réponde "moi aussi je t'aime" me va bien aussi.
Je sais juste que je ne suis pas le genre de gars à pleurnicher au moment d'un décès en disant :
"Je ne lui ai même pas dis que le l'aimais
"Mes enfants nous le disent aussi régulièrement et c'est fort agréable à entendre.
En matière de sentiment, je vis chaque jour comme si c'était mon dernier et je suis trop con pour me satisfaire de ce qui est non dit, de ce qui devrait se deviner, de ce qui devrait être évident pour les uns mais qui ne l'est pas toujours pour les autres.
Je ne galvaude pas pour autant l'expression car si je ne le pense pas, je ne le dis pas. Je l'ai déjà dit à certaines cygales et c'était toujours sincère et non pour "faire bien"
Pour conclure, je dirais donc que je n'ai pas "besoin" qu'on me dise que l'on m'aime mais j'ai certainement envie qu'on ne me le cache pas et envie également qu'on ne m'interdise pas de le dire moi-même.
Pépé le Moko
C’est une très délicate attention.
Pour info et comme il semblerait que vous vouliez tout savoir,
Lolo et moi ne sommes pas mariés.Je lui ai fait ma non-demande et elle a dit oui.
Vidéo YouTubeSi jamais on change d’avis, vous serez toutes et tous invités.
Ça fait 17 ans aujourd’hui que nous sommes ensemble.
Officiellement ce sera cette nuit soit dans la nuit du 10 au 11 mais ne comptez pas sur moi pour obtenir plus de détails.
Sachez juste que le 11, j’avais une visite médicale (médecine du travail) et que j’avais 9.6 de tension, ce qui, au dire du toubib, "n’était pas beaucoup". 
Gros bisous à toutes et tous
Pépé le Moko
- ça fait combien de temps déjà ?
- 17 ans
- tout ça ??
- ben oui. On a un fils de presque 14 ans je te rappelle donc ça ne peut déjà pas faire moins
Pépé le Moko
Une des recettes que j'ai réussi à tenir depuis 17 ans, c'est que je ne laisse jamais ma femme aller se coucher sans qu'elle n'ait ri. Ce n'est pas grand chose mais je m'y tiens.
modifiée
14 juin 2012 18h51
Pépé le Moko
Je l'ai trouvée (et ça fait 17 ans que ça dure pour mon plus grand bonheur
)Djab, Arsène, en gros, vous rêvez à des sex-toys
"J'en ai rêvé si fooooooort
que les draps s'en souvienneuuu..."
modifiée
6 juin 2012 00h27
Pépé le Moko
Même pas qu'elle m'aime... En revanche je l'espère.
Sinon ça fait un peu "je t'aime, il faut que tu m'aimes sinon je ne t'aime plus" Mon amour pour elle n'est pas soumis à condition. Je n'arrêterais pas de l'aimer si elle ne m'aimait plus. Je souffrirais, c'est tout.
Je l'aime pour tout ce qu'elle est, avec ses défauts et ses qualités. C'est ma maîtresse, ma meilleure copine... Pas de contrat entre nous. On vit l'instant présent et tant que ça va, ça dure. Si ça ne va pas (ça arrive) on dialogue et on s'adapte et alors ça va et alors ça dure.
Pas ben compliqué au fond
LOL... je ne suis pas si mechant!
Yann, heureusement sinon je ne resterais pas si près parce que c'est vrai qu'il ne fait pas bisounours ton avatar
Pépé le Moko
tu ne crois pas si bien dire...
Un jour quand j'avais 17 ans, en vacance, un mec avait rencontré une fille et le grand soir était arrivé : il devait perdre sa virginité.
C'était un secret de polichinelle et toute la bande de potes attendait le lendemain pour avoir des détails croustillants
La fille elle-même savait que ce serait sa première fois et ça l’émoustillait et elle en blaguait.
Le lendemain on croise la fille et bien sûr, on vient aux nouvelles.
Elle faisait un peu la tronche mais elle finit par nous avouer que tout se passait bien et qu'il était allé dans la salle de bain pour en ressortir 1/4 d'heure plus tard, habillé.
Il a balbutié quelques vagues excuses et il s'était barré.
Elle n'avait aucune explication à donner et nous a demandé de chopper des infos auprès du gars.
On le retrouve et le presse de questions.
Il finit par nous avouer qu'il avait été dans la salle de bain pour mettre un préservatif vu que LE moment était arrivé. (Il ne connaissait pas encore le plaisir de se le faire mettre délicatement et en fait, il ne connaissait pas grand chose tout court)
Et là il nous dit (sans anesthésie, sans rien) :
"Je me suis acharné comme un con pendant 1/4 d'heure et je n'ai jamais réussi à faire rentrer les boules dedans. J'ai choppé la honte et je me suis barré"
(Soupir...)
modifiée
16 novembre 2011 00h45
Pépé le Moko
J'ai été animateur en centre aéré et colos tous les étés de 16 à 23 ans. C'étaient des enfants issus de milieux défavorisés âgés de 7 à 17 ans.
J'ai fait des études pour être prof de sport et durant ces années j'ai fait plusieurs fois des stages en ZEP
J'ai été entraîneur en école d'athlétisme pendant 6 ans.
Et, accessoirement, j'élève deux enfants de 11 et 13 ans.
Ne crois pas que parce que tu es avec des enfants depuis quelques temps, tu en sais forcément plus que les autres...
Miettoushka !!!!!!
C'est un éclair ou tu vas revenir un peu ?
Bises
modifiée
24 juin 2011 00h03
Pépé le Moko
, il n'y a pas de lézard pour moi. En fait j'ai trouvé plutôt subtil l'emploi de "OC" (C'est ton invention ?) et je suis pas mal fier de l'avoir compris tout de suite ça m'a fait rire parce que tu sais... ici on est à l'auberge. Alors tu peux même dire "PD" si tu veux. Tout est question de contexte. (et puis je suis de moins en moins réceptif au politiquement correct. On peut choisir de dire les choses comme elles sont si c'est sans mépris. A force de porter des gants, je finis par puer des mains et ça m'agace
)Quand j'avais 17 ans, j'avais accompagné des amis homos à une "soirée entre potes" et ils m'ont désigné deux mecs et ont dit : "Ceux-là, ne les laisse pas t'approcher, c'est des pédés" et crois-moi, cela n'avait rien à voir avec leur orientation sexuelle, même si...
Ces mêmes mecs 20 ans plus tard, trouvaient que la chanson "petit pédé" de Renaud, était un bel hommage au parcours de beau nombre d'entre eux.
Tout est question de contexte... et d'intentions
Pépé le Moko
Je me permets de rajouter mon grain de sel à tout ce qui s’est dit ici.
J‘avoue que je suis choqué par cette histoire. N’y voyez pour autant aucune pudibonderie.
Segel nous dit que l’argent le choque dans la prostitution. Personnellement, ce ne sont ni l’argent, ni le sexe qui me gênent (si j’en avais le pouvoir, je donnerais aux prostituées le statut de profession libérale) ce qui me choque dans la prostitution, c’est l’exploitation, l’esclavage dans lequel est tenu la plupart des filles qui font le trottoir. On ne devrait jamais avoir de rapports sexuels de manière contrainte.
J’ai un regard parfois tendre, parfois amusé sur le libertinage. Jamais je ne me permettrais de juger des actes qui sont perpétués par des adultes consentants.
Dans cette affaire, on parle d’une jeune fille de 16 ans, alcoolisée, dans un bus scolaire qui fait une fellation à un gars parce que le jeu « action ou vérité » entraîne une désinhibition liée au phénomène de groupe et accentuée par le champagne. La contrainte est là, selon moi. Elle s’est sentie obligée de jouer le jeu, pour respecter une règle, une sorte de gage. Où est le plaisir (pour elle s’entend… je ne m’en fait pas pour le mec) où est le don librement consenti que devrait sous entendre cette fellation.
Selon moi, il y a abus de faiblesse. Il a profité d’une parole donnée (l’acceptation des règles du jeu), du fait également qu’en groupe, on peux faire des choses stupides pour ne pas passer pour un(e) dégonflé(e), et sans doute aussi de son aura d’autorité supérieure (c’est le pion quand même) pour faire faire à une fille quelque chose qu’elle n’aurait sans doute pas fait autrement. Car je ne pense pas qu’elle aurait accepté s’il s’était mis au fond du car et s’il avait juste dit à la fille « taille moi une pipe ».
Pour moi qui suis vieux jeu, le sexe est un aboutissement de l’acte amoureux. Il est systématiquement précédé d’un minimum de séduction. Or là, on le galvaude, on le salit.
Je ne serais absolument pas choqué si j’avais appris que ces deux là avaient une relation amoureuse. Après tout, 22 et 16 ans ne sont pas tant éloignés que ça l’un de l’autre.
A 21 ans, j’ai été moniteur de colo pour des jeunes de 14 à 17 ans. Certains et certaines sont devenus des amis par la suite, nous n’avions que 4 ans d’écart et plein de centres d’intérêts communs. Cependant, durant la colo, cela ne me serait pas venu à l’esprit d’engager quoi que ce soit avec une jeune fille du groupe. J’avais une mission et je savais que si j’étais attiré par une jeune fille, je n’aurais qu’à attendre d’être dans un autre cadre pour pouvoir tenter de la séduire. Tout au plus ai-je été plus permissif sur leurs petites incartades car je comprenais pourquoi et comment elles avaient été commises et que je reconnaissais que j’aurais sans doute fait la même chose qu’eux à ce moment-là.
Ce pion à commis une faute. Professionnelle d’abord et d’éthique également et pour ça, il est normal qu’il soit sanctionné mais j’accorde toute mon indulgence à la jeune fille et je ne lui fait aucun reproche sur sa conduite.
Voilà… ce n’est que mon avis et je le partage. (une p’tite pipe, hourra !)
Bises à toutes et tous.
