6 juin 2011 21h29
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Jean-Pierre ♫ |
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6 juin 2011 22h01
modifiée 6 juin 2011 22h25 |
R.WOLF |
Vidéo YouTube le monde a changé Vidéo YouTube avoir mis l' homme au centre de la création n' était peut-être pas la meilleure idée qu' on a eu. mais gageons que la nature nous le rappellera et que peut-être nous en reviendrons à moins de folie merci pour le joli gâteau JP | |||
7 juin 2011 00h08
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Pépé le Moko |
Un autre indien qui lutte en ce moment-même : Raoni : signature de la pétition contre le complexe de barrages de Belo Monte Merci pour lui Bises | |||
7 juin 2011 00h39
modifiée 7 juin 2011 00h47 |
Tinou70 |
Oserais-je dire que les plus grands "ù^¨ç@€*!&@|-#" de tous les temps sont les donneurs de leçons que sont les "Américains !" Ce peuple composé, recomposé a osé faire disparaître un Peuple en place, de plus quand il en restait, ils les ont parqué, ont tenté d'amoindrir les résistants et y sont parvenu.. Nous aurions pu nous les "Gaulois" être ceux-là si les mêmes Caincains n'étaient pas venus nous libérer de l'emprise rigide des Germains.. Il n'en reste pas moins vrai qu'un Peuple a disparu dans la plus grande indifférence... C'est un Génocide ou j'me trompe ?? Si vous dites "Non" expliquez-moi pourquoi vous le dites ! @JP "Comment pouvez-vous acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ?" Je ne suis pas acheteuse, je ne suis pas vendeuse, je suis juste locataire (tu préfères squatteuse ?) pour un bref instant.. Désolée, me suis reproduite.. Mea Culpa ! J'le pense vraiment..... | |||
7 juin 2011 00h52
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Tinou70 |
JP... Suis curieuse .. D'où te vient cette envie d'intervenir, de citer, d'écrire ce texte ? Belle idée.. Vénérable..... Après un temps de pause... J'y reviens... Alors, pourquoi ? | |||
7 juin 2011 01h02
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Segel |
Grand classique. Toujours aussi magnifique. En apprenant le "développement" nous avons perdu la sagesse. Mais quand est-ce intervenu dans notre histoire ? A lire Bakounine, je pense que c'est entre l'antiquité grecque et l'antiquité romaine que c'est intervenu en Europe, donc après les Celtes chez nous. | |||
7 juin 2011 01h33
modifiée 7 juin 2011 01h44 |
Tinou70 |
L'Homme n'est rien, il est de passage, la Terre reste, immuable, respectable et si peu respectée par l'homme .. J'avoue, je ne connaissais pas.. J'aime vraiment.. Voilà un texte à lire à un enfant pour qu'il s'endorme sereinement... J'ai copié...Merci. | |||
7 juin 2011 09h05
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Segel |
A propos du "Discours de 1854" du chef Seattle, il en existe une bien meilleure traduction : Chef Seattle(1786 - 1866) Chef Indien d'Amérique du Nord "L'homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères... Le Grand Chef de Washington nous a fait part de son désir d'acheter notre terre. Le Grand Chef nous a fait part de son amitié et de ses sentiments bienveillants. Il est très généreux, car nous savons bien qu'il n'a pas grand besoin de notre amitié en retour. Cependant, nous allons considérer votre offre, car nous savons que si nous ne vendons pas, l'homme blanc va venir avec ses fusils et va prendre notre terre. Mais peut-on acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ? Etrange idée pour nous ! Si nous ne sommes pas propriétaire de la fraîcheur de l'air, ni du miroitement de l'eau, comment pouvez-vous nous l'acheter ? Le moindre recoin de cette terre est sacré pour mon peuple. Chaque aiguille de pin luisante, chaque grève sablonneuse, chaque écharpe de brume dans le bois noir, chaque clairière, le bourdonnement des insectes, tout cela est sacré dans la mémoire et la vie de mon peuple. La sève qui coule dans les arbres porte les souvenirs de l'homme rouge. Les morts des hommes blancs, lorsqu'ils se promènent au milieu des étoiles, oublient leur terre natale. Nos morts n'oublient jamais la beautée de cette terre, car elle est la mère de l'homme rouge; nous faisons partie de cette terre comme elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos soeurs, le cerf, le cheval, le grand aigle sont nos frères; les crêtes des montagnes, les sucs des prairies, le corps chaud du poney, et l'homme lui-même, tous appartiennent à la même famille. Ainsi, lorsqu'il nous demande d'acheter notre terre, le Grand Chef de Washington exige beaucoup de nous. Le Grand Chef nous a assuré qu'il nous réserverait un coin, où nous pourrions vivre confortablement, nous et nos enfants, et qu'il serait notre père, et nous ses enfants. Nous allons donc considérer votre offre d'acheter notre terre, mais cela ne sera pas facile, car cette terre pour nous, est sacrée. L'eau étincelante des ruisseaux et des fleuves n'est pas de l'eau seulement; elle est le sang de nos ancêtres. Si nous vendonc notre terre, vous devez vous souvenir qu'elle est sacrée, et vous devrez l'enseigner à vos enfants, et leur apprendre que chaque reflet spectral de l'eau claire des lacs raconte le passé et les souvenirs de mon peuple. Le murmure de l'eau est la voix du père de mon père. Les fleuves sont nos frères: ils étanchent notre soif. Les fleuves portent nos canoës et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devrez vous souvenir que les fleuves sont vos frères et les vôtres, et l'enseigner à vos enfants, et vous devrez dorénavant leur témoigner la bonté que vous auriez pour un frère. L'homme rouge a toujours reculé devant l'homme blanc, comme la brume des montagnes s'enfuit devant le soleil levant. Mais les cendres de nos pères sont sacrées. Leurs tombes sont une terre sainte, ainsi, ces collines, ces arbres, ce coin de terre sont sacrés à nos yeux. Nous savons que l'homme blanc ne comprend pas nos pensées. Pour lui un lopin de terre en vaut un autre, car il est l'étranger qui vient de nuit piller la terre selon ses besoins. La sol n'est pas son frère, mais son ennemi, et quand il l'a conquis, il poursuit sa route. Il laisse derrière lui les tombes de ses pères et ne s'en soucie pas. Les tombes de ses pères et le patrimoine de ses enfants sont oubliés. Il traite la terre, sa mère, et le ciel, son frère, comme des objets qu'on achète, qu'on pille, qu'on vend, comme des moutons ou des perles brillantes. Son appétit va engloutir la terre et ne laissera derrière lui qu'un désert. Je ne sais. Nos voies diffèrent de vos voies. La vue de vos villes blessent les yeux de l'homme rouge. Peut-être parce que l'homme rouge est un sauvage qui ne comprends pas. Il n'y a pas de lieu calme dans les villes de l'homme blanc, pas de place où entendre les feuilles qui se déroulent, au printemps, ou le bruissement des ailes d'insectes. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage qui ne comprend pas. Le fracas qui règne seul insulte l'oreille. Et à quoi bon vivre, si l'homme ne peut écouter le cri solitaire de l'engoulevent ou les palabres des grenouilles autour de la mare ? Je suis un homme rouge, et je ne comprends pas. L'Indien préfère le doux bruit du vent effleurant la surface d'un étang, et le parfum du vent, lavé par la pluie de midi ou chargé de la senteur des pins. L'air est précieux à l'homme rouge, car toutes choses partagent le même souffle; les bêtes, les arbres, l'homme, tous participent au même souffle. L'homme blanc paraît indifférent à l'air qu'il respire. Comme un homme à l'agonie depuis des jours, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vendons notre terre, vous devez vous souvenir que l'air nous est précieux, qu'à tous les êtres qu'il fait vivre il fait partager son esprit. Le vent qui a donné son premier souffle à notre aïeul reçoit aussi son dernier soupir. Et le vent doit aussi donner à nos enfants l'esprit de la vie. Si nous vendons notre terre, vous devez la conserver comme un lieu à part et sacré, où l'homme blanc lui-même puisse goûter la douceur du vent parfumé par les fleurs des prairies. Nous allons donc considérer votre offre d'acheter notre terre. Si nous décidons de l'accepter, ce sera à une condition : l'homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères Je suis un sauvage et ne comprends pas les autres usages. J'ai vu mille buffles pourrir sur la prairie, abandonnés par l'homme blanc qui les avait abattus d'un train en marche. Je suis un sauvage qui ne comprends pas que le cheval de fer fumant puisse être plus important que le buffle, lui que nous tuons que pour rester en vie. Qu'est l'homme sans les bêtes? Si toutes les bêtes disparaissaient, l'homme mourrait de grande solitude de l'esprit. Car tout ce qui arrive aux bêtes ne tarde pas à arriver à l'homme. Toutes choses sont liées. Vous devez enseigner à vos enfants sur la terre, sous leurs pieds, est faite des cendres de nos grands-parents. Afin qu'ils la respectent, dites à vos enfant que la terre est riche de la vie de notre peuple. Apprenez à vos enfants ce que nous apprenons à nos enfants, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. Lorsque les hommes crachent sur la terre, ils crachent sur eux-mêmes. Nous le savons: la terre n'appartient pas à l'homme, c'est l'homme qui appartient à la terre. Nous le savons: toutes choses sont liées comme par le sang qui unit une même famille. Toutes choses sont liées. Tout ce qui arrive à la terre arrive au fils de la terre. L'homme n'a pas tissé la toile de la vie. Il n'est qu'un fil de tissu. Tout ce qu'il fait à la toile, il le fait à lui-même. Mais nous allons considérer votre offre d'aller dans la réserve que vous destinez à mon peuple. Nous vivrons à l'écart et en paix. Qu'importe où nous passerons le restant de nos jours. Nos enfants ont vu leurs pères humiliés dans la défaite. Nos guerriers ont connu la honte; après la défaite, ils coulent des jours oisifs et souillent leurs corps de nourritures douces et de boissons fortes. Qu'importe où nous passerons le reste de nos jours ? Ils ne sont plus nombreux. Encore quelques heures, quelques hivers, et il ne restera plus aucun enfants des grandes tribus qui vivaient autrefois sur cette terre, ou qui errent encore dans les bois, par petits groupes; aucun ne sera là pour pleurer sur les tombes d'un peuple autrefois aussi puissant, aussi plein d'espérance que le vôtre. Mais pourquoi pleurer sur la fin de mon peuple ? Les tribus sont faites d'hommes pas davantage. Les hommes viennent et s'en vont, comme les vagues de la mer. Même l'homme blanc, dont Dieu marche avec lui et lui parle comme un ami avec son ami, ne peut échapper à la destinée commune. Peut-être sommes-nous frères malgré tout; nous verrons. Mais nous savons une chose que l'homme blanc découvrira peut-être un jour: notre Dieu est le même Dieu. Vous avez beau penser aujourd'hui que vous le posséder comme vous aimeriez posséder notre terre, vous ne le pouvez pas. Il est le Dieu des hommes, et sa compassion est la même pour l'homme rouge et pour l'homme blanc. La terre est précieuse à ses yeux, et qui porte atteinte à la terre couvre son créateur de mépris. Les Blancs passeront, eux aussi, et peut-être avant les autres tribus. Continuez à souiller votre lit, et une belle nuit, vous étoufferez dans vos propres déchets. Mais dans votre perte, vous brillerez de feux éclatants, allumés par la puissance de Dieu qui vous a amenés dans ce pays, et qui, dans un dessein connu de lui, vous a donné pouvoir sur cette terre et sur l'homme rouge. Cette destinée est pour nous un mystère; nous ne comprenons pas, lorsque tous les buffles sont massacrés, les chevaux sauvages domptés, lorsque les recoins secrets des forêts sont lourds de l'odeur d'hommes nombreux, l'aspect des collines mûres pour la moisson est abîmé par les câbles parlants. Où est le fourré . Disparu. Où est l'aigle ? Il n'est plus. Qu'est-ce que dire adieu au poney agile et à la chasse ? C'est finir de vivre et se mettre à survivre. Gardez en mémoire le souvenir de ce pays, tel qu'il est au moment où vous le prenez. Et de toute vos forces, de toute votre pensée, de tout votre coeur, préservez-le pour vos enfants, et aimez-le comme Dieu nous aime tous. Ainsi donc, nous allons considérer votre offre d'acheter notre terre. Et si nous acceptons, ce sera pour être bien sûrs de recevoir la réserve que vous nous avez promise. Là peut-être, nous pourrons finir les brèves journées qui nous restent à vivre selon nos désirs. Et lorsque le dernier homme rouge aura disparu de cette terre, et que son souvenir ne sera plus que l'ombre d'un nuage glissant sur la prairie, ces rives et ces forêts abriteront encore les esprits de mon peuple. Car ils aiment cette terre comme le nouveau-né aime le battement du coeur de sa mère. Ainsi, si nous vous vendons notre terre, aimez-la comme nous l'avons aimée. Prenez soin d'elle comme nous en avons pris soin. Nous savons une choses: notre Dieu est le même Dieu. Il aime cette terre. L'homme blanc lui-même ne peut pas échapper à la destinée commune. Peut-être somme-nous tous frères. Nous verrons..." http://www.protection-des-an... | |||
7 juin 2011 09h09
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Segel |
J'aime aussi beaucoup celui de Sitting Bull, plus vindicatif, mais aussi plus lucide : «Voyez Mes frères, le printemps est venu ; la terre a reçu l'étreinte du soleil, et nous verrons bientôt les fruits de cet amour! Chaque graine s'éveille et de même chaque animal prend vie. C'est à ce mystérieux pouvoir que nous devons nous aussi notre existence ; c'est pourquoi nous concédons à nos voisins, même à nos voisins animaux, le même droit qu'à nous d'habiter cette terre. Pourtant, écoutez-moi, vous tous, nous avons maintenant affaire à une autre race, petite faible quand nos pères l'on rencontrée pour la première fois, mais aujourd'hui grande et arrogante. Assez étrangement, ils ont dans l'idée de cultiver le sol et l'amour de posséder est chez eux une maladie. Ces gens-là ont établi beaucoup de règles que les riches peuvent briser mais non les pauvres. Ils prélèvent des taxes sur les pauvres et les faibles pour entretenir les riches qui gouvernent. Ils revendiquent notre mère à tous, la terre, pour leur propres usages et se barricadent contre leurs voisins ; ils la défigurent avec leurs constructions et leurs ordures. Cette nation est pareille à un torrent de neige fondue qui sort de son lit et détruit tout sur son passage. Nous ne pouvons vivre côte à côte.» Discours prononcé par le chef indien Sitting Bull en 1875 | |||
30 juillet 2012 22h20
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Hélène |
J'aime! | |||
31 juillet 2012 00h12
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Segel |
posséder est chez eux une maladie Combien d'entre nous sont malades ? | |||
2 août 2012 10h04
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Hélène |
Oui...bien vu! | |||
2 août 2012 10h19
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Segel |
L'argent ne devrait pas être au coeur de nos préoccupations, mais bien vivre si. Or, nos sociétés font que l'un dépend de l'autre. | |||
2 août 2012 10h23
modifiée 2 août 2012 10h25 |
Hélène |
oui, parce que dans nos sociétés "t'a pas d'monnaie, t'as rien" (CF "la belle verte") Toi aussi tu travailles pour un salaire? Tout le monde ici, ou presque, c'est ainsi. D'ailleurs, moi, je file à mon travail intensif de l'été, qui va me permettre de larguer toutes mes affaires en france et de repartir finaliser d'autres projets ailleurs. Ce n'est pas l'argent au coeur de mes préoccupations,au final, mais le fait de pouvoir vivre bien! | |||
2 août 2012 10h41
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Segel |
Bon courage à toi ! | |||
2 août 2012 22h53
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Hélène |
Youp's...de retour! Aujourd'hui, c'est jour de paie! (ponctuel ce patron, vinguette!) Bon, j'avoue que je ne me ménage pas...c'est physique cette affaire, mais j'ai plutôt la pêche (le vélo, sans doute...fait pas d'mal ce truc là!) Plus qu'un mois et demie, et j'ai fini.... Je repars dans la vie "sauvage".... | |||
3 août 2012 01h22
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Segel |
Fais gaffe avec le vélo : http://www.seneweb.com/news/... | |||
3 août 2012 08h38
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Hélène |
bein, sans voir cet article, je m'en doutais quelque peu! ça tombe bien, je n'ai pas le temps de m'occuper d'un "Jûles" en plus! | |||
3 août 2012 09h57
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Segel |
Moi je m'apprète à passer une semaine en vélo en famille alors tu vois ... Et la semaine suivante : chantier paille ... A+ | |||
5 août 2012 10h21
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Hélène |
cool, te voici fort occupé! Tu vas faire quoi avec de la paille? Construction? (ça me fait penser aux trois petits cochons...fais gaffe au vent!) | |||
5 août 2012 16h32
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Segel |
Bah je vais aider des copains qui ont organisé un chantier participatif. C'est la classique maison ossature bois, dont les murs sont en paille. |