17 février 2012 09h00
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Arsène Lupin |
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17 février 2012 09h12
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Segel |
Ca dépend quel est l'objectif. Exprimer quelque chose, a toujours un objectif. C'est quoi l'objectif ? Rallier d'autres personnes à ton mécontentement ? | |||
17 février 2012 09h26
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Jean-Pierre ♫ |
Quel que soit l'objectif, le seul fait de vider son sac est toujours une bonne chose. Cela permet de s’alléger. C'est efficace pour le bien-être intérieur. | |||
17 février 2012 09h50
modifiée 17 février 2012 10h00 |
Arsène Lupin |
Tu as raison en nous cachant derrière son Avatar. Nous en sommes peut-être arrivés par lâcheté, peur ou par prudence ? http://www.syti.net/ContratT... | |||
17 février 2012 10h16
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Jean-Pierre ♫ |
Non. Je pensais en l’occurrence à de très salutaires coups de gueule verbaux. Mais quel que soit le moyen d'expression, oral ou écrit, frontal, par téléphone ou derrière un écran, il est toujours sain de s'exprimer franchement. | |||
17 février 2012 10h18
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Segel |
Arsène on en a déjà parlé ici : Connaissez vous la liste des acceptations implicites de la vie en société de consommation ? | |||
17 février 2012 10h19
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gonzo |
c'est que la tete est sourde ...c'est inutile . on manifeste un mécontentement quand y'a encore une certaine écoute ...quand la tête s'en branle, on parle à son cul | |||
17 février 2012 11h52
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Djabali |
je ne dis rien ... je ne dis rien ... je ne dis rien et puis d'un coup ça explose, soit verbalement, soit une belle lettre bien fétide ... | |||
17 février 2012 12h08
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Djabali |
du genre, quand ma coordinatrice pédagogique s'est fendue d'un courriel de plainte à mon encontre, la réplique a été fulgurante (avec copie au directeur) : Bonjour A., J’aimerais apporter ma modeste contribution à cet échange de courriels, puisqu’il me concerne directement. Oui, le 30 novembre mon groupe est sorti en avance. Je ne sais pour quelle raison je m’étais mis dans la tête que le cours se terminait à 17h45, sur le moment j’ai même pensé sortir en retard. C’était une erreur de ma part, je le reconnais et ne l’ai jamais nié. Pour l’OFFI, Mlle L. semble excédée par le fait que je sois sorti, un peu moins de 10 minutes, pour prendre mes médicaments. Comment aurais-je su que cela allait la mettre dans cet état ? Jamais personne ne m’a dit qu’il était interdit de sortir avant que tous les candidats ne fussent passés. J’avais terminé ma liste, j’avais pris un ou deux candidats sur la liste de mes collègues puis j’ai demandé à M. C.s s’il avait besoin de moi pour prendre la dernière personne en attente. Celui-ci m’a dit qu’il s’en chargeait sans problème. D’ailleurs, je n’ai jamais fait attention auparavant à qui finissait en premier ou en dernier et j’ai parfois vu mes collègues prendre le temps de fumer une cigarette alors que je faisais passer les 2 ou 3 derniers candidats sans que cela ne causât une telle réaction. Mais en quoi mon absence (moins de 10 minutes, l’équivalent d’une cigarette) a-t-elle porté atteinte à la tâche qui m’avait été confiée ? Si mon absence de quelques minutes n’a pas porté préjudice à l’exécution de cette tâche et si Melle L. ne conteste pas l’importance de ma prise de médicaments, pourquoi ce harcèlement ? Melle L. prend soin de se montrer pointilleuse à mon encontre, elle n’est pourtant pas la mieux en mesure de faire des reproches. Le 8 septembre, en plein durant la vague des inscriptions, Melle L. et ses amies-collègues sont arrivée avec 20 minutes de retard, à 14h50, quand j’étais au bureau depuis 14h30, remplaçant mes collègues à leur poste, à l’accueil. Dans les semaines suivantes, alors que nous étions débordés par les inscriptions et la conception des référentiels, Melle L. a pris, sur son temps de travail, au moins une heure afin de régler un problème d’ordre personnel, l’acquisition d’un ordinateur portable. Un autre jour, elle quitta son poste une demi-heure, afin de recevoir son plombier (ceci au vu et au su de l’équipe). Si je suis tout à fait capable de comprendre l’importance de ces activités, elles ne représentent pas la même nécessité que celle à laquelle je suis astreint, du fait de mon état de santé (une raison qui n’est pas acceptable selon elle dans un cadre professionnel – j’aimerais savoir en quoi l’accueil d’un plombier, en revanche, le serait). Lors des semaines d’inscriptions, nos emplois du temps, fournis par Mlle L., nous ont été par deux fois remis en retard, le lundi (dont le 19/09 ; ce jour-là, c’est toute l’équipe qui est arrivée en retard l’après midi, me laissant seul avec les deux secrétaires, en plein rush à l’accueil, alors que je devais préparer un cours privé pour l’après-midi – même Fatima a dû nous prêter main forte). De plus, alors que je lui avais remis à la date requise mon travail sur les référentiels, je n’ai reçu les référentiels nécessaires à mon travail qu’un mois après le début des cours, le 23/11/2011 ! Me suis-je plaint ? De la même manière, les professeurs qui devaient utiliser les référentiels sur lesquels j’avais travaillé les ont reçus au minimum une semaine après le début des cours. Voilà qui me semble au moins aussi conséquent que le fait d’arriver, le 2 décembre, avec une dizaine de minutes de retard à une réunion informelle où nous devions « nous rencontrer » pour « discuter » (ce sont les termes de son courriel) des projets à lancer lors de la semaine de la francophonie, réunion qui n’avait pas commencé quand je suis arrivé. Sans même nécessiter de faire appel à mon expérience à ce poste, j’estime qu’il est du devoir d’un responsable, d’être, autant qu’il est possible, irréprochable, de donner l’exemple, surtout lorsqu’il prétend faire des reproches. Car Mlle L., pour tout dire, n’a été capable que de reproches concernant mon travail. Elle oublie manifestement que lorsqu’on a la responsabilité de la gestion d’une équipe, il faut aussi féliciter ses collaborateurs quand ils le méritent et savoir mettre en valeur – je ne dis pas simplement exploiter – le potentiel des membres de cette équipe. Aujourd’hui, je me demande pourquoi je me suis particulièrement investi, lors de la période d’inscription, dans la correction des tests de placement (environ 600 copies), par exemple. Pour terminer, je dirais que, comme dans une salle de classe, si les étudiants n’ont pas compris, ce n’est pas forcément parce qu’ils font preuve de mauvaise volonté ; c’est souvent tout simplement parce que nous n’avons pas réussi à atteindre notre objectif avec eux. À plusieurs reprises, les remarques de Mlle L. ont été lancées soit sur un ton acerbe (lors de mon retard à la réunion de décembre, 12 minutes exactement), soit avec un volume sonore que quiconque considérerait comme irrespectueux (par exemple lorsque, totalement dépassée par son travail, à la fin de la session d’été le 22 juillet, elle s’est mise à me crier dessus au téléphone à propos des bulletins de fin de session). Quoi d’étonnant, dans ce cas, que la communication soit difficile ? Mlle L. devrait se rappeler qu’elle ne travaille ni avec ses enfants, ni avec ses domestiques, comme elle devrait s’abstenir de favoriser les collègues qui entretiennent avec elle une relation d’amitié en dehors du travail. Je déplore qu’il soit nécessaire de perdre autant de temps et d’énergie (en ce qui me concerne) pour des histoires qui, selon moi, relèvent d’une difficulté chronique à communiquer dans cet institut. Ceci dit, je reste ouvert à toute remarque constructive sur mon travail, Respectueusement, D. PS : je trouve regrettable que Melle L. n’ait pas pris le temps de relire son bref courriel et d’en corriger les fautes de français, avant de l’envoyer. | |||
17 février 2012 12h11
modifiée 17 février 2012 12h12 |
DAME Miette |
je peux à peine en parler là, tout de suite c'est un sujet qui ...qui quoi? qui me bouleverse, qui m'obsède, qui.... Terrible des abcès à crever que je suis la seule à vouloir ( avoir besoin) de crever probs famille, probs relations famille je n'ai pas la coolitude de Gonzo, ça me mine . | |||
17 février 2012 12h27
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R.WOLF |
je frappe sous la ceinture, immédiatement ou plus tard (souvent plus tard d' ailleurs) ; jamais de coups, j' en suis incapable, des mots choisis, des attitudes. je peux rendre fou n' importe qui en dix minutes. bref, faut pas me chercher à moins d' aimer les emmerdes. sale caractère mais bon fond quand même. | |||
17 février 2012 20h29
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gonzo |
ha ça dame miette. je peut raler à tout va, mais j'y vais sans y mettre de sentiments. sa permet de ne pas s'impliquer émotionnellement, et c'est surtout ça qui mine ... moi je balance mon sac, et je marche comme si de rien n'était | |||
17 février 2012 20h35
modifiée 17 février 2012 20h40 |
DAME Miette |
t'es un DUR, quoi... comment fait-on pour faire taire ses sentiments ? en particulier quand on est un bisounours ? ( quand je pense que je voulais te demander en mariage , à Lyon...) | |||
17 février 2012 20h37
modifiée 17 février 2012 20h42 |
gonzo |
dur, faut pas pousser. l'émotion est ton ennemi, il faut la mettre de coté ...boudha est en toi !!! essaye de repousser le coté obscur en toi @miette ba c'est justement parce qu’ont à un coté bisounours que sa devient nécessaire ...défendre son esprit, c'est du travail | |||
17 février 2012 20h47
modifiée 17 février 2012 20h49 |
DAME Miette |
souvenirs.... à vrai dire, c'était parce que toi tu avais été prévoyant : tu avais une chambre ...ben j'ai pas regretté, qu'est-ce qu'on a rigolé dans notre hôtel ! et puis ...il y a eu un autre fiancé pour partager ma chambre ( j'ai dit : ma CHAMBRE ) . | |||
17 février 2012 20h49
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gonzo |
cool, tu m'invite pour Mars ? | |||
17 février 2012 20h50
modifiée 17 février 2012 20h52 |
DAME Miette |
hi hi rigole pas je me suis dit le truc de Pépé, la chaîne anti-nucléaire et si des cygales en profitaient pour se rencontrer ? . | |||
17 février 2012 20h54
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gonzo |
je préfère prévenir tout de suite, je ne couche pas le premier soir | |||
17 février 2012 20h55
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DAME Miette |
mouai si ça te dépanne de dormir à Grenoble no problem pour mon hôtel particulier tu es le premier qui demande : priorité | |||
17 février 2012 20h56
modifiée 17 février 2012 20h57 |
DAME Miette |
tu fais quoi alors? tu passes la nuit à boire ? ( apporte les litrons, chez moi y a rien ) mais si c'est que ça : t'as qu'à venir direct le deuxième soir | |||
17 février 2012 20h57
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gonzo |
je t'invite au reste, c'est mieux ? | |||
17 février 2012 20h59
modifiée 17 février 2012 21h01 |
DAME Miette |
sybillin ( ou sibyllin , ou un seul "l" ? ), ce mot : le "reste" , c'est quoi ? | |||
17 février 2012 21h00
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gonzo |
je voulais écrire resto ... mais j'ai quelques souci de vue ...il est possible que je ne vienne pas en voiture | |||
17 février 2012 21h01
modifiée 17 février 2012 21h05 |
DAME Miette |
hi hi le resto : j'ai plus de dents et en ce moment fo que je mange avec une paille sais pas comment sera ma bouche en Mars mais ta chambre et ton lit seront prêts (( je n' héberge pas les voitures )) | |||
17 février 2012 21h08
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gonzo |
cool; tu me fera visiter le pays et le jp du coin | |||
17 février 2012 21h08
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Arsène Lupin |
Bonsoir jolie dame ! | |||
17 février 2012 21h15
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DAME Miette |
oh ! oh là, qu'est-ce que c'est que ce flatteur ? il vaut également être hébergé ? tu coucheras avec le nain gonzo , démerdez-vous entre vous bon, y a un tit matelas qui peut s'allonger par terre , c'est comme à la guerre, le nucléaire | |||
17 février 2012 21h29
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Tony Truand |
J'endosse mon avatar anonyme et j'asperge yahou de contributions fielleuses, jusqu'à ce que je jouisse de la satisfaction d'avoir un peu changé le monde. Mais ici, je suis plus gentil, parce qu'il y a moins de monde, on s'attache. |