16 octobre 2012 14h55
modifiée 16 octobre 2012 14h57 |
Djabali |
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16 octobre 2012 14h57
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Djabali |
Avec, pour faire passer tout ça, quelques cornes de gazelle | |||
16 octobre 2012 15h18
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Théodora |
je crois que tu as besoin d'un petit thé aussi | |||
16 octobre 2012 15h50
modifiée 16 octobre 2012 15h55 |
Alicia |
et avec un bon bol d'air frais par là dessus ça le fera encore mieux c'est horrible..mais tu sais que c'est un rêve ça te démolit une demie journée et pff!!! ça passe .. moi je fais des paralysie du sommeil; ce sont des rêves éveillés parfois terrifiants c'est à cause des médocs que je prends pour pouvoir dormir un peu.. et aussi les antalgiques pour les douleurs ... les cornes de gazelle j'aime pas beaucoup ..trop sucrées | |||
16 octobre 2012 17h39
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Djabali |
En fait, le rêve, je ne l'ai pas vécu comme horribles, sauf évidemment la scène du meurtre mais aucun stress. Sur la fin même un profond sentiment de tristesse, une tristesse douce, apaisée. C'est probablement en relation avec les épisodes mouvementés de ma vie affective en ce moment... | |||
17 octobre 2012 00h17
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lurette |
Miam, des cornes de gazelle .. trop bon ! @Djab, oui, surement. Un exutoire, comme le sont souvent les rêves, dans lesquels les emotions sont amplifies puissance 100 ; deuil d'une relation qui n'apportait plus grand-chose de sincère, une certaine nostalgie mais plus de regrets, reste à gérer les heurts et reactions de l'autre : (décryptage -batard- de Dr.L ) | |||
12 mai 2013 08h23
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sourire |
OUah! après un tel rêve, je crois que je me sers un bon whisky sur glaçons et je refuse d'ouvrir ma porte aux intrus! Cette femme qui fatigue son fils, cela pourrait être moi avec mon gendre et comme il est chirurgien! Heureusement ont dit aussi que de rêver de sang c'est bon signe! Il vaut mieux positiver... | |||
4 juin 2013 01h39
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Djabali |
mon rêve d'hier Nous sommes un groupe d'amis. Nous avons découvert un moyen de voyager ailleurs : c'est une boîte dans laquelle nous entrons, on ouvre la porte, comme un grand frigo. On entre l'intérieur et, quand on sort (la disposition me fait penser à la cabine de police du docteur Who) nous trouvons dans un autre endroit. Je ressens une profonde angoisse. Je sais que tout cela est risqué. Les gens qui sont avec moi ne sont pas conscients des risques. Nous sommes dans une dimension qui m'est inconnue. Nous sommes dans un espace de taille moyenne. En face de la porte de la boîte, légèrement sur la droite, s'ouvre dans une falaise un passage manifestement creusé dans la roche (les parois pensant rectilignes, c'est un couloir, de plus la façade est organisée en un passage comme une entrée et, sur les côtés, ceux qui ont creusé un garder la forme de fenêtres). C'est presque en riant et en s'amusant que la majorité de mes compagnons pénètre à l'intérieur. Je suis évidemment retenu par ma claustrophobie, j'essaie de leur dire de ne pas y entrer, nous ne savons absolument pas où nous sommes et ce qu'il peut y avoir un intérieur. Personne ne m'écoute. Au bout de quelques minutes, certains sont ressortis (sont-ils les mêmes ? Je ne le saurai pas), d'autres sont encore à l'intérieur. De l'autre côté, derrière notre moyen de transport, il y a comme un passage très lumineux (je pense à ces histoires de lumière au bout du couloir dans les expériences de mort imminente), une grande allée. C'est alors que j'entends un son perçant qui me fait très mal à la tête. Je pose la main sur mes oreilles mais le son y parvient tout de même. Je remarque que les autres n'y sont pas sensibles. Il n'est perceptible que par mon audition qui semble donc plus sensible que celle des autres. J'arrive à peine à respirer. Enfin certains sont pris et aussi par les mêmes gestes, ils doivent entendre le son que j'ai dans la tête. Je savais bien qu'il y avait ici un réel danger. Nous devons à tout prix partir maintenant. Alors que je traverse la grande allée pour me diriger la boîte, je croise un cortège, une jeune femme habillée de vêtements remarquables (comme dans un film héroïque fantaisy), elle est encadrée par une demi-douzaine d'hommes. Elle est jeune, pas très grande, je pose ma main sur elle pour passer, elle prend cela comme une offense. Je me tape totalement de ses sentiments, j'ai perçu le piège de ce monde, si nous ne partons pas MAINTENANT nous serons condamnés à errer ici est probablement sous une forme qui sera déplaisante. |