11 avril 2014 15h54
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armand |
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11 avril 2014 16h05
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Segel |
« La propriété, c'est le vol ! » Proudhon | |||
11 avril 2014 16h53
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armand |
ok segel rassure moi pour Huguette et coquillette c'est ta propriété en fait j'ai posé la question de l'autre coté aussi je cherche aussi https://fr.answers.yahoo.com... | |||
11 avril 2014 16h57
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Segel |
Ce sont des animaux que j'héberge et nourrit, et qui me donnent leurs oeufs. Si demain le renard vient les bouffer, c'est la nature. Mais je fais tout pour l'éviter. En fait je crois que la "petite propriété" fait partie des droits humains. Mais pas la "grosse" d'un Danone ou d'un Pepsi faisant main basse sur les ressources d'un pays. La "petite propriété" fait partie de la nature. Pas la grosse. | |||
12 avril 2014 05h25
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armand |
La "petite propriété" fait partie de la nature. Pas la grosse. c'est comme les animaux le territoire est déterminé par le marquage et la défense de leur espace de vie le comportement agressif envers l'intrus est compréhensible ce quriste https://fr.answers.yahoo.com... avait bien ciblé la problématique nous sommes d'accord et Proud'hon quand il identifie la propriété à du vol il s'agit bien de la propriété industrielle,il ya aucun doute la dessus chez nous avec good year nous l'avons vécu tragiquement par exemple je m'explique si le droit français avait stipulé que l'usine n'est pas la propriété exclusive du patron (cela aurait pu s'envisager pourquoi pas) la casse industrielle d'une région n'aurait pas eu lieu aussi brutalement il y a un paradoxe chez nous lorsque l' on prétend défendre le respect de la propriété privé . pourquoi ??? << si on trouve du pétrole dans ton jardin (acte notarial à l'appui.)>> il devient la propriété de l'état ce qui n'est pas le cas aux etats unis car ce qui est en dessous du sol n'est pas ta propriété en fait on ne possede rien – Les éléments du vivant, c’est-à-dire la nature et le corps humain : – la nature : traditionnellement la nature était soustraite à toute appropriation puis progressivement les progrès scientifiques ont conduit à admettre la possibilité d’une appropriation du vivant. Des monopoles d’exploitation, sous la forme de brevet ou de certificat d’obtention végétale, ont ainsi été accordés pour des plantes ou des animaux génétiquement modifiés, permettant à l’homme de s’approprier petit à petit des éléments de la nature. Cette évolution est rendue possible notamment par le fait que l’animal est considéré par le droit comme une chose et non comme une personne. Même si certains auteurs tentent de lui faire reconnaître une certaine forme de personnalité, la loi le refuse, tout en admettant qu’il s’agisse d’une chose particulière. Parce qu’il est vivant et sensible, il bénéficie d’une protection spéciale. La loi sanctionne notamment les actes de cruauté envers eux ; – le corps humain : la question se pose aujourd’hui de savoir si ce phénomène d’appropriation peut s’étendre au corps humain. Le principe de l’indisponibilité du corps humain et de sa nonpatrimonialité a toujours été affirmé parce qu’il n’est pas une chose mais la personne elle-même. Le corps humain, et tout ce qui le compose, ne peut être qualifié de bien. Il est par principe hors du commerce. Les lois bioéthiques du 29 juillet 1994 comme celles du 6 août 2004 ont pour objectif d’assurer le respect du corps humain en interdisant toute convention à titre gratuit ou onéreux portant sur « le corps humain, ses éléments et ses produits » (art.16-1, C. civ.). Cette protection se prolonge avec l’interdiction de brevetabilité du corps humain et de ses éléments. Pourtant une directive européenne de 1998 prévoit déjà la brevetabilité de séquences d’ADN. La France ne l’a toujours pas transposée car elle apparaît comme une brèche dans laquelle risque de s’engouffrer les scientifiques et remettre en cause des principes fondamentaux de notre société en autorisant progressivement une appropriation du corps humain. |